
Comment seraient les conditions de vie des populations (en milieu urbain, semi-urbain et surtout rural) sans les interventions du ministère du Développement à la base, de l’Artisanat et de la Jeunesse ? C’est la grande question à laquelle nous tentons de répondre à travers une série d’articles d’angle que nous vous proposons.
En effet, instables, défectueuses et déplorables sans doute. Il devient cohérent, s’adossant sur la liste interminable des réalisations du ministère sus-cité et leurs retombées bénéfiques, de soutenir qu’il représente la cheville ouvrière du développement socioéconomique au Togo. Très actif sur le terrain, son objectif est d’éradiquer la pauvreté à travers l’amélioration de l’accès des communautés et des organisations à la base au minimum vital commun.
Ainsi, le ministère du développement à la base accroît ainsi, leurs capacités à générer de la richesse ; réduit les déséquilibres inter et intrarégionaux en matière d’infrastructures socio collectives. Pour toucher au but, il s’adosse sur l’Agence nationale d’appui au développement à la base (Anadeb). Les deux s’entourent des projets (FSB, EJV, PN-PTFM, PUDC Psmico, PDC-Zu, Pradeb, Paeij-SP, Faiej, etc.) qui améliorent la vie des Togolais.
De 2011 à 2019, le ministère a investi près de 09 milliards de francs CFA dans l’artisanat. Les statistiques font état de 11.300 projets financés grâce aux différents mécanismes. Sur 60.000 jeunes artisans enregistrés, 25.000 ont été formés pour développer et professionnaliser leur art. Plus de 800 entreprises artisanales ont été créées, occasionnant 2469 emplois et 411 artisans ont été couverts par l’assurance maladie.
À suivre…