Ces dernières années, le nombre de ménages togolais dont l’accès à l’eau potable et aux infrastructures d’assainissement s’est accru, est pléthorique. Il n’est pas à nier que l’eau est une ressource indispensable pour chaque pays et ses citoyens. Et chaque nation doit lutter pour faciliter l’accès à l’eau potable aux habitants. Cette ambition est manifeste au Togo, pays qui s’appuie sur le Projet eau et assainissement (PEAT), entre autres initiatives.

En effet, l’ancien secrétaire général de l’Onu, Koffi Annan en était convaincu lorsqu’il disait: « Nous ne pourrons vaincre les maladies infectieuses qui affligent les pays en développement tant que nous n’aurons pas gagné la bataille pour l’eau potable, l’assainissement et les soins de santé de base ». Un appel que les autorise togolaises ont entendu et prisent au sérieux. Ainsi, en 2011, la proportion de la population togolaise n’ayant pas accès à une source d’eau potable était de 56,1%. Diligemment, des programmes ont été conçus pour monter le taux à 65% en 2017. La mise en œuvre du Projet eau et assainissement au Togo (PEAT 1) a contribué à cette avancée dans les villes d’Atakpamé et Dapaong.

A Atakpamé (région des Plateaux), 1 474 branchements privés ont été effectués pour étendre le réseau à plus de 14 000 habitants. Un nouveau système de pompage a sensiblement amélioré la chaîne de production, desservant les zones de Glélou, Gbatékpé et Tchakpali. Actuellement, une nouvelle station de traitement d’eau est en construction sur un site situé à moins de 10 km de la ville.

A Dapaong (chef-lieu de la région des Savanes), des travaux sont en cours pour le renforcement de la digue du barrage de Dalwak. L’ensemble du système électronique vieillissant de la station de traitement d’eau a été changé et plus de 1 100 branchements à l’eau potable à des coûts réduits ont été réalisés. L’objectif du gouvernement est d’assurer l’eau potable à toutes la population togolaise.

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