Déclenché depuis 2009 et après un temps de repris, revenu au devant de la scène en mars 2019, le litige foncier qui oppose les collectivités Gbama et Kpassra, est encore à la Une cette semaine avec la sortie des acquéreurs de cette localité située dans la banlieue nord est de la capitale togolaise, Lomé.
En effet, excédés par la situation qu’ils traversent depuis 2020 avec la présence des antigangs sous forme d’état de siège dans le village, les enquêteurs des parcelles de terrain à Gbama-Kopé, étaient face à la presse pour lancer un cris de détresse à l’endroit du chef de l’État togolais Faure Gnassingbé. Par ce cris de détresse, ils entendent solliciter l’intervention personnelle du chef de l’État, afin de mettre fin à ce conflit qui les exaspère. Ces derniers, ( les acquéreurs), disent être dépassé par l’état de siège dont est victime leur localité et qui ne permet une liberté de mouvement. Car constamment obligés de répondre aux questions sans aucune courtoisie des agents de l’antigan postés dans tous les coins et recoins du village. Ils implorent Faure Gnassingbé afin qu’il mette fin à ce conflit foncier.
« Avons-nous tor d’avoir voter son excellence Faire Gnassingbé ? » se demandent ils à travers leur déclaration avant d’ajouter « Nous demandons à S.E. Faure Gnassingbé, président de la République de taper du poing sur la table pour dire à la bande de soldats qui séjourne nuit et jour devant nos maisons de quitter le lieu. », peut-on lire dans leur déclaration. Par ailleurs, les acquéreurs de parcelles de terrain à Gbama-Kopé, interpellé le ministre Adedjé Kodjo, a respect sa parole qu’il avait donnée lors de la campagne de 2020, après qu’il ait fait un tour sur pour constater la situation.
Il convient de rappeler que c’est depuis 2009 que ce litige foncier oppose la collectivité Gbama à la collectivités Kpassra. Un litige foncier à plusieurs
