Dans le souci d’assurer une formation et un encadrement de qualité aux apprenants, le gouvernement togolais mise sur l’intensification de la formation des enseignants et du personnel d’encadrement à travers la multiplication des écoles de formation au métier d’enseignant.

En effet, pour un enseignement de qualité, la formation initiale est devenue obligatoire pour les enseignants principalement dans le primaire. Cette décision est instaurée depuis 2010 selon les orientations du plan sectoriel de l’éducation 2010-2020. C’est ainsi qu’en application de ce plan sectoriel assorti d’un schéma directeur, le gouvernement créer de nouvelles écoles de formation de formation des enseignants. De deux Écoles nationales d’instituteurs notamment ENI de Kara et de Notsè, le pays était revenu à un seule celle de Kara étant fermée. Mais, aujourd’hui on en est arrivé à la création de cinq autres à Adeta, Tabligbo, Sotouboua, Niamtougou et Dapaong. Dans le même temps, l’on possède à réouverture de l’ENES d’Atakpamé pour la formation des élèves professeurs du premier cycle du secondaire. Le DIFOP qui forme les formateurs, reprend aussi du service pour la formation des inspecteurs et du personnel administratif.

Ainsi, avec cette multiplication d’instituts de formation du personnel d’encadrement, l’Etat va procéder au recrutement et la formation de trois vagues de 2 904 élèves-maîtres dans les écoles nationales d’instituteurs (ENI). En 2016 un concours est organisé pour la formation d’une autre cohorte de 1500 élèves- maîtres. Tout ceci sera suivi de la reprise du recrutement et de la formation des enseignants à l’Ecole Normale Supérieure d’Atakpamé entre temps fermée, pour former les élèves professeurs du premier cycle du secondaire.

Pour un meilleur encadrement de proximité des enseignants par les formateurs des formateurs, cent (100) inspecteurs de l’éducation nationale et une soixantaine de conseillers pédagogiques ont été recrutés et formés.

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