La société est souvent faite d’histoires qui nous invitent à beaucoup de réflexions sur ce que nous faisons ou les actes que nous opposons surtout en famille avec nos enfants. La lecture de cette histoire, peut nous permettre de comprendre à quel point le manque de communication avec nos enfants peut détruire à jamais notre vie et notre famille. Lisez l’histoire de cette femme qui a vu sa famille se détruire sans pouvoir rien faire.

Je me suis mariée à l’âge de 24 ans, mon mari et moi étions tous les deux médecins. Nous nous sommes tous les deux concentrés sur notre profession et, bien sûr, nous avons tous deux réussi dans tout ce que nous avons fait, mais pas en tant que parent de notre propre chair et de notre propre sang. Nous avons eu deux enfants, Kunle le premier et Tola le second. Kunle était un garçon très curieux et posait des questions sur tout. Il avait même un surnom « l’examinateur ». Son père et moi étions fatigués de ses questions au point où nous avons commencé à fermer la porte de notre chambre quand nous rentrions du travail. Combien j’aurais aimé savoir, combien j’aurais voulu lire ces publications en ce moment-là.

A l’âge de quatre ans, Kunle était beaucoup plus intelligent que ses camarades et il était tellement vif, vous n’éprouveriez jamais d’ennui avec lui. Il aimait tellement sa sœur et nous étions toujours fiers de lui. Son père et moi étions si sûrs que Kunle allait aussi devenir médecin comme nous.

Nous amions tellement nos enfants et avions l’intention de leur offrir le meilleur de tout, même si nous étions toujours occupés et n’étions pas toujours à la maison à cause de notre travail. Nous avons embaucher une nounou et pris aussi un de mes beaux-frères avec nous.

Un jour, j’étais rentrée du travail très fatiguée, mon fils courut dans ma chambre et me demanda:

« Pourquoi fermez-vous toujours votre porte chaque fois, toi et papa êtes dans la pièce? »

« Aimes-tu embrasser mon papa? »

« Pourquoi ne m’embrasses-tu pas aussi? »

Je m’étais tellement fâchée contre lui, que je l’ai battu sévèrement et l’accusation chez son professeur le jour suivant. Nous avions pensé que certains de ses amis étaient déjà exposés et pourraient déjà regarder des mauvais films à la maison. À la fin de ce trimestre, nous avons enlevé Kunle et Tola de l’école.

Nous ne leurs avions pas permis à sa sœur et lui à regarder la télévision à la maison et leurs avions interdit de rendre visite à leurs amis et voisins. Nous avons fait tout cela pour préserver la santé morale de nos enfants, mais à peine savions nous ce qui se passait sous notre toit.

Deux ans plus tard, je suis rentrée à la maison très tôt chercher un document. J’ai remarqué que la porte n’était pas fermée et partout était calme. Je me suis faufilée pour donner à mes enfants une surprise ludique quand j’ai réalisé que leur oncle et leur nounou étaient assis à côté de mes enfants en train de regarder la pornographie. Je n’aime pas me rappeler de ce jour. Non seulement ils regardaient la pornographie, mais ils étaient tous nus, pratiquant ce qu’ils regardaient.

J’ai chassé la nounou et mon beau-frère mais la graine était déjà plantée. Quand je pleurais, mon fils de six ans est venu me voir et m’a dit, maman, pourquoi pleures-tu, mon oncle et ma tante nous apprennent seulement à être bons maman et papa. J’étais choquée car je ne savais même pas que cela avait duré plus de deux ans et mes enfants avaient été endoctrinés dans ce style de vie sale depuis leur enfance.

Nous n’avons jamais réalisé l’impact que cela avait eu sur leurs vies jusqu’à ce que nous les attrapions tous les deux ayant des rapports sexuels à des occasions innombrables. Tola et Kunle n’ont pas seulement continué avec cela mais sont devenus obsédés l’un par l’autre.

Leur père et moi avions gardé cela comme notre « petit secret » comme nous étions bien connus dans notre profession. Nous avons essayé de les corriger dans l’amour avec des larmes coulant sur nos visages chaque fois que nous les avons pris en flagrant délit. Ils nous promettaient qu’ils allaient changer. Nous avions commis deux avortements à notre fille, puisque nous ne pouvions pas faire face à la stigmatisation de l’inceste.

Un jour fatidique, Tola s’approcha de moi et de son père et nous a dit qu’elle était encore enceinte de Kunle. Son père insista pour un avortement comme d’habitude mais cette fois nous avions perdu notre fille de vingt ans dans le processus. En apprenant que Tola était mort, Kunle ne parlait plus ni à son père ni à moi. Il quitta finalement la maison.
Quelques mois après avoir quitté la maison, nous reçûmes un appel d’un hôpital nous disant que notre fils était dans un état terrible dans leur unité de soins intensifs. Quand nous arrivâmes, Kunle était inconscient. Il s’était empoisonné.

Finalement, il prit conscience et nous fûmes si heureux, il nous regarda pendant que nous étions assis à son chevet et nous dît combien il nous détestait pour avoir tué sa sœur. Nous plaidames avec lui et nous nous excusames.

Nous partîmes à l’hôpital le lendemain juste pour voir son cadavre, il s’était étouffé en enlevant son masque à oxygène.

J’ai maintenant 74 ans et je suis veuve, mon mari ne pouvait pas se pardonner et est mort de suite de dépression il y a trois ans. Je regrette mes années d’ignorance tous les jours. J’aimerais pouvoir recommencer.

Je n’ai jamais ouvert mon petit secret de famille jusqu’à ce jour. Je ne sais pas si mon histoire peut aider d’autres parents, je suis fatiguée de porter ce fardeau sans le dire à une âme.

Je suis heureux d’avoir enfin eu le courage de m’ouvrir à quelqu’un aujourd’hui. Oh, ma vie est un gros gâchis.

Je vous remercie. Mesdames, SVP, veuillez partager ceci avec vos réseaux et contacts. On ne sais jamais cela pourrait aider quelqu’un.

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