D’abord pour ce qui est de la gifle infligée au président Emmanuel Macron, tout le monde a bien vu la sympathie générale et l’unanimité de que ce geste a provoqué au sein de l’opinion publique notamment politique. Tous les acteurs et chefs politiques mais les opposants radicaux au président Emmanuel Macron ont condamné l’acte et apporté leur soutien au président français. Ce qui n’est pas anodin à 10 mois de la présidentielle. C’est un grand plus pour la remontée de la côte de popularité du président auprès des français. Emmanuel Macron se faisant ainsi passer comme une victimes, attire la sympathie des français. Également, les circonstances dans lesquelles la gifle est arrivée, conforte les analystes qui trouvent que c’est juste un montage politique. Car, comment comprendre que le président Emmanuel Macron, ait choisi comme par hasard, de commencer par saluer la foule par la personne qui a décidé de le gifler ? Pourquoi la garde rapprochée s’est montrée passive au point de laisser le président se faire agressé ? Comment les gens savaient que le président allait être giflé pour filmer la scène ? Autant de questions qui confortent les tenants de la thèse complottiste dans leurs positions.
Ensuite, très critiqué sur la présence injustifiée des forces françaises au Mali depuis bientôt une décennie, la décision du président Macron de mettre fin à l’opération Barkhane au Mali, est un coup médiatico-politique du président Macron. Il s’agit d’un signal fort en direction des français et surtout ses détracteurs comme quoi, il est un président à l’écoute de son peuple. Et dans le cas d’espèce, il s’agit de dire qu’il a pris en compte les critiques des français sur la présence injustifiée des forces françaises au Mali. Ceci, pour reconquérir la confiance de ces français et remonter dans les sondages, car pour le moment, les sondages donnent pour la première fois dans l’histoire française, l’extrême droite et le Rassemblement National de Marine Le Pen.

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