
Au Forum Afrique 2021 du CIAN, du Conseil des investisseurs français en Afrique, tenu par visioconférence jeudi 18 mars 2021, le Togo a été représenté à ce forum au plus haut niveau par le Présent Faure Gnassingbé qui avait à ses côtés, Mme le secrétaire général de la présidence de la République, Sandra Ablamba Johnson qui s’est particulièrement bien illustrée.
En effet, à la suite de Faure Gnassingbé qui a planté le décors de l’expérience du Togo en matière d’amélioration du climat des affaires, la place est revenue à cette qu’on peut appeler, « Mme Climat des affaires », Sandra Johnson de prendre la suite des débats pour revenir point par point sur les différentes réformes engagées par le Togo dans le cadre de l’amélioration du climat en vue de faciliter l’investissement étrangers au Togo. Bref elle a beaucoup insisté sur les éléments, notamment les grandes lignes des réformes qui aujourd’hui du Togo, un des premiers pays où il est le facile de faire des affaires.
Dans sa communication sur la gestion de la pandémie à coronavirus et les importantes réformes opérées, Mme le Ministre Secrétaire générale de la Présidence de la République est revenue notamment sur les importantes mesures prises par les dirigeants togolais dès le début de la pandémie pour riposter contre la crise. Elle a évoqué le fonds de solidarité de 400 millions mis en place, le mécanisme Novissi en faveur des familles défavorisées, la prise en charge des malades du covid, la mise en place du comité national de riposte, du comité scientifique… Tout ceci a permis au Togo de pouvoir gérer efficacement la crise qui a pourtant durablement touché les économies du monde. « La crise sanitaire a été inédite, cependant nous l’avons su gérer efficacement en mettant dès les premières heures un comité de crise présidé par le Chef de l’Etat lui-même », a-t-elle relevé dans sa communication.
Parlant des réformes en matière d’amélioration du climat des affaires au Togo, Mme Sandra Johnson, a au-delà des réformes, insisté sur la digitalisation des services. Et ceci, pour permettre aux opérateurs économiques d’avoir plus de célérité et de gain de temps. Cette digitalisation est bien-sûr accompagnée d’instruments juridiques en vue de faire du Togo un hub d’innovation digitale. Elle a également mis l’emphase sur la digitalisation de tous les services publics, la création d’un Registre social unique (RSU) et l’identification biométrique. Lesquelles réformes ont permis de dématérialiser les formalités administratives portuaires et la procédure de création des entreprises sans publier la mise en place de guichet unique foncier et du commerce extérieur. La création du Centre d’alerte et de réaction aux attaques informatiques (CERT) n’est pas du reste.
Mme le ministre, Secrétaire général de la présidé du Togo, a saisi l’occasion pour inviter les investisseurs à venir investir au Togo. Un pays qui, non seulement jouit d’une stabilité aussi bien au plan sociopolitique que sécuritaire, mais offre un environnement propice pour l’investissement.