Selon la plus haute juridiction française, la décision rendue par les juges était bien conforme à la loi. La justice française pouvait donc se prononcer sur ces détournements d’argent même s’ils ont eu lieu à l’étranger. Outre donc le fait qu’il  devra donc s’acquitter d’une amende de 30 millions d’euros et sera condamné à trois ans de prison avec sursis pour blanchiment d’abus de biens sociaux et de détournement d’argent public, le patrimoine de Teodorin Obiang en France qui est estimé à environ 150 millions d’euros, devrait être vendu aux enchères. Malheureusement, même si officiellement il est annoncé que les fonds issus de cette seront retourner en Guinée-Équatoriale, mais là encore rien ne garantie l’effectivité de cet éventuel restitution.

Cependant, cela sonne comme une leçon aux dirigeants africains. Ils doivent comprendre et tirer des leçons de cette amère expérience que vit le vice-président président équato-guinéen. Car, s’il avait investi ou réalisé tout ce patrimoine dans ce pays, il serait difficile que la justice française puisse  vendre ce patrimoine  aux enchères. Que tous les dirigeants africains qui préfèrent constitue ou investir en occident plutôt dans leur pays pour créer de l’emploi pour les jeunes en tirent le constat.

 

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